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L’intelligence artificielle dans le secteur de l’assurance et de la protection sociale, enquête auprès des décideurs du secteur

L’intelligence artificielle dans le secteur de l’assurance et de la protection sociale, enquête auprès des décideurs du secteur Auteur : Pascal COMPET, Associé Une vingtaine de dirigeants de Mutuelles, d’Institutions de Prévoyance, d’Assureurs, de Délégataires de gestion ont participé à notre grande enquête portant sur l’Intelligence Artificielle dans l’assurance de personnes cet automne. Celle-ci a permis de dresser un état des lieux factuel des initiatives engagées et des réalisations concrètes mises en place par les assureurs s’agissant de l’IA portant tant sur les cas d’usage que sur les organisations et les moyens mis en place. Loin de l’emballement généralisé dès lors qu’il s’agit d’IA, Abelya, en totale indépendance avec les dirigeants répondants, a mis en évidence les approches qui semblent produire des résultats concrets pour les assureurs, les freins, les doutes mais aussi une réflexion prospective. Nous invitons les dirigeants des assureurs et acteurs de la protection et leurs équipes à contribuer avec nous aux réflexions portant sur l’évolution de notre secteur dans le cadre des études de fond qu’Abelya mène régulièrement.  Cet article suscite une réaction, un commentaire, l’envie de débattre ? Contactez-nous !  Nous contacter

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Quels points communs peuvent exister entre l’univers créatif et symbolique du peintre Gustave Moreau et celui du conseil en stratégie et organisation chez Abelya Partners ?

Quels points communs peuvent exister entre l’univers créatif et symbolique du peintre Gustave Moreau et celui du conseil en stratégie et organisation chez Abelya Partners ? Auteur : Kevin ALLAIN, Directeur associé Quels points communs peuvent exister entre l’univers créatif et symbolique du peintre Gustave Moreau et celui du conseil en stratégie et organisation chez Abelya Partners ? C’est à cette exploration de pistes de convergence plus ou moins étonnantes que nous avons eu le plaisir de convier toute l’équipe d’Abelya dans le cadre magnifique et intimiste du musée Gustave Moreau. Partageons quelques éléments de réponse : 🔹 L’inspiration large et la capacité à faire le pont entre des disciplines variées. La peinture de Gustave Moreau est nourrie d’inspirations très diverses : mythes antiques, Renaissance italienne, Orient arabe, cultures indienne, perse ou encore japonaise, influences des peintres néoclassiques (David, Ingres) et de la peinture d’Histoire (Chassériau). Cette diversité et cette fusion créative, tout comme dans notre métier, offrent de nouvelles perspectives et nourrissent l’innovation. 🔹 Le sens du détail et de l’ornement. Ce qui frappe chez Gustave Moreau, c’est le goût du détail, la peinture minutieuse et documentée, la richesse de l’ornement (cf. tableau Jupiter et Sémélé) qui expriment son principe esthétique de « richesse nécessaire », à l’opposé d’un certain design actuel qui assujettit le beau à l’utile. Cela nous rappelle également combien la précision et la recherche de singularité sont essentielles dans nos recommandations, où chaque détail compte pour créer des solutions pertinentes et distinctives. 🔹 Un équilibre entre complexité et simplicité. Notre métier cherche à exprimer la complexité de façon simple et compréhensible, un impératif que Moreau a parfois laissé de côté en privilégiant une sophistication extrême – une recherche qui a pu parfois l’entraver, aboutissant à des œuvres inachevées et à une forme de lenteur de production. 🔹 Une forme d’écart avec l’esprit du temps. Gustave Moreau peint au moment où la modernité industrielle s’installe dans le paysage. Il incarne, avec son idéalisme et son symbolisme, une forme de réaction à l’utilitarisme et au rationalisme dominants. 🔹 L’audace et l’avant-garde. La peinture de Gustave Moreau incarne le symbolisme (avec un tableau comme L’Apparition), et annonce le fauvisme (avec le tableau La Parque), en rupture avec le paradigme esthétique dominant à son époque. Ces parallèles inattendus illustrent l’ambition d’Abelya : comme en peinture, la richesse de notre métier réside dans la capacité à concilier vision, précision et audace. Avec humilité, Abelya s’inspire aussi de l’art quand celui-ci montre des voies d’exploration, d’innovation et de questionnement, qui permettent de penser autrement et de transformer les idées en actions concrètes. Cet article suscite une réaction, un commentaire, l’envie de débattre ? Contactez-nous !  Nous contacter

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La complexité est-elle une fatalité pour un assureur de personnes ?

La complexité est-elle une fatalité pour un assureur de personnes ? Iconoclaste de se poser cette question, plus encore de tenter d’y répondre ! Pourtant en observant le temps long, il faut de plus en plus de moyens humains et financiers en valeur absolue pour distribuer et gérer de l’assurance santé, de la prévoyance et de l’épargne et ce malgré des investissements massifs en automatisation, digitalisation, exploitation des données, IA, … Prenez connaissance de nos analyses et venez débattre avec nous !

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Abelya a choisi de fêter sa première année d’existence au musée du Louvre.

Abelya a choisi de fêter sa première année d’existence au musée du Louvre. Auteurs : Pascal COMPET, Associé & Kevin ALLAIN, Directeur associé Abelya a choisi de fêter sa première année d’existence en réunissant ses collaborateurs au musée du Louvre, dans le département des antiquités grecques. Rien de plus innovant et intemporel que le « miracle grec » qui se joue au tournant du Vème siècle avant JC. On y trouve des sources d’inspiration puissantes pour notre métier et la façon dont Abelya souhaite l’exercer. Nous retenons en particulier : Compter sur ses propres yeux. L’artiste grec s’affranchit des préceptes esthétiques existants, notamment égyptiens et invente une nouvelle façon de représenter les corps ;  Choisir son angle. En inventant le « raccourci », l’artiste grec rompt avec la représentation de profil. Se fonder sur une connaissance précise de l’objet qu’on représente. La beauté des corps représentés est atteinte par le savoir, en particulier anatomique, permis par l’éclosion de la philosophie et des sciences.  Accepter l’itération et l’approche participative. Les innovations artistiques et le génie de Phidias n’ont pas surgi du jour au lendemain ; elles sont issues d’une succession de tentatives, d’échecs, chaque artiste capitalisant sur la découverte du précédent, dans une société démocratique (avec toutes les restrictions d’usage) où l’artiste participait aux affaires de la Cité. Singulariser la représentation, avec un équilibre entre abstraction et individualisation, et un rendu de la vie intérieure, que Socrate, formé lui-même à la sculpture, nommait les « effets de l’âme ». Au-delà d’une représentation du monde fondatrice de notre humanisme, nous avons nourri notre quête esthétique, au cœur du projet d’Abelya.   L’art explore, discute et exprime simplement la complexité du monde et de ce point de vue nous montre des chemins à nous, les consultants, pour répondre aux problématiques de nos clients.   Précisément, l’art Grec procède de la fusion de la forme et de la fonction, c’est-à-dire de la recherche permanente d’un équilibre entre esthétisme et utilité qui est une vision inspirante et paradoxalement moderne au regard des tendances de notre temps. Cet article suscite une réaction, un commentaire, l’envie de débattre ? Contactez-nous !  Nous contacter

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L’esthétique et le travail : à la recherche de la beauté perdue ? Un nouveau front de valeur pour les collaborateurs et les clients

Notre société a pu être qualifiée récemment « d’hyper-esthétique », au sens où la beauté délaisse le monde de l’art pour envahir tous les aspects de la vie, depuis le simple produit de cosmétique jusqu’au mobilier urbain en passant par nos photos Instagram. Si questionner la dimension esthétique des éoliennes ou l’architecture des villes paraît évident, le sujet semble plus éloigné des préoccupations de l’entreprise et du travail. La quête utilitariste d’efficacité et de rentabilité semble primer sur la recherche esthétique, le jugement de goût et le souci du Beau.

Et pourtant, si le beau s’affirme comme une nouvelle préoccupation, l’entreprise et le travail ne seront pas épargnés. Mais peut-être, ont-ils beaucoup à y gagner, vis-à-vis tant des collaborateurs que des clients. C’est ce que nous voudrions évoquer ici.

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Digitalisation rime avec raison

Le digital, promesse tenue ? Alors que le digital s’affirme comme un standard, questionner la manière dont le digital a transformé le secteur de l’assurance de personne peut paraitre aller à l’encontre de l’ère du temps. En effet, le digital est un incontournable de l’expérience adhérents. Et les effets de productivité liés à la numérisation sont indéniables. Pourtant, le marché de l’assurance de personne qui a vu son CA plus que doubler en 20 ans, et le nombre d’opérateurs divisé par trois, … dispose de frais généraux au même niveau qu’il y a 20 ans (x2 en € sur la période).

Comment expliquer ce phénomène ? Cette note se propose d’explorer quelques éléments de réponse.

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Des transformations responsables

La responsabilité sociétale, sociale et environnementale fait partie des préoccupations d’une partie de l’opinion publique, du régulateur et des entreprises et associations.
Rationnels, les offreurs – les entreprises – veulent d’abord être conformes d’un point de vue réglementaire puis répondre aux attentes des demandeurs – les consommateurs – concernant l’impact sociétal, social ou environnemental.

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